Cellule 24, tome 1

Tu ne connais pas les agents de la cellule 24 ? Regarde mieux, il y en a peut-être un dans ta classe…
Au début, je croyais qu’il s’agissait d’une mission comme les autres. Intégrer un collège avec un autre agent (la très agaçante Juliette), et retrouver un prof d’histoire-géo qui s’est volatilisé du jour au lendemain, sans laisser aucune trace.
Une disparition mystérieuse, dans un collège chargé d’énigmes et de dangers, c’est plus kiffant qu’un cours de techno à mourir d’ennui ! Notre couverture : un frère et une soeur, tout ce qu’il y a de plus normal.
Jusque-là, tout va bien.
Enfin, jusqu’à ce que tout parte en vrille, et que la mission nous échappe complètement…
La cellule 24 a tout à cacher. Pourtant, il faudra dévoiler certains de ses secrets pour mener cette mission à bien…

Le présent est mon refuge

” Plus que jamais, face au tourbillon du monde, j’ai envie de partager avec vous les leçons que j’ai pu prendre de la vie, au travers de mes doutes, des épreuves que j’ai vécues, mais aussi des découvertes et des rencontres bouleversantes que j’ai pu faire. Échanger avec vous sur l’érosion du sens, la nécessité d’une vie plus harmonieuse et équilibrante, l’importance de la méditation. J’espère que ces pages, faites d’émerveillements et de chemins nouveaux pour la science et la spiritualité, vous aideront dans vos propres vies. ”
Comédienne et chanteuse, Véronique Jannot est l’une des artistes préférées des Français. Dans ce livre enrichi d’un cahier photos exceptionnel, elle appelle chacun de nous à vivre pleinement le présent pour qu’il devienne un refuge.
L’actrice emblématique de Pause café, série culte des années 80, du Toubib avec Alain Delon, ou encore de Tir groupé, évoque son rapport privilégié aux animaux et à la nature, ” un lien essentiel qu’il faut réinventer “, et nous invite à poser un autre regard sur le monde. Le récit plein de tendresse d’une femme de cœur et d’engagement.

Territoires du mystère

Le roi du thriller révèle ses secrets d’écriture.
« Des accidents, j’en ai eu. En grand nombre. J’aurais pu perdre la vie dix fois – et surtout la faire perdre à d’autres. Ma seule excuse : j’étais jeune, inconscient, les messages de prévention routière n’existaient quasiment pas et certaines de mes idoles littéraires d’alors – Hemingway, Mailer, Rimbaud, Lowry – n’étaient pas connues pour leur tempérance. À défaut d’avoir leur génie (ce que je compris très vite), j’essayais d’imiter leurs vices et leur folie. »

Dans ce livre hors norme, à la fois essai sur la création littéraire et récit autobiographique, Bernard Minier nous transmet sa passion des grands textes et de l’écriture à cent à l’heure. Un tour de force aussi étourdissant que virtuose.

A Dieu vat

«On ne choisit rien, on ne fait que mettre ses pas dans le chemin tracé, on accomplit toujours ce que l’on est.»
C’est dans l’euphorie d’un monde à reconstruire, en 1924, qu’Irène rencontre Georges. Elle est serveuse, il est menuisier aux studios de cinéma, et ressemble à s’y méprendre à Rudolph Valentino, ce qui en chavire plus d’une. Le temps d’une valse sur les bords de Marne, ils tombent amoureux.
Leur fille aînée, Arlène, fera partie pendant son enfance du carré magique : à ses côtés, il y aura Daniel, qui se destine à Saint-Cyr, et Thomas et Marie, les jumeaux de bonne famille. Ils sont inséparables. Mais Arlène n’est pas comme eux. Malgré son humble extraction, elle va s’évertuer à être l’une des premières femmes ingénieurs atomiques en France.
Ce qui n’est pas sans embûches. Ce qui n’est pas sans sacrifices.
Chassé-croisé d’amours éperdues, de destinées funestes et de rendez-vous manqués sur fond de bouleversements sociaux et politiques, À dieu vat est aussi l’épopée d’un siècle : celui d’une jeunesse fracassée par trois guerres successives, des filles qui voulurent échapper à leur condition, et des gens modestes qui eurent de l’ambition.