Le chant d’Haïganouch

Ils en rêvaient : reconstruire leur pays et leur histoire. Comme des milliers d’Arméniens, Agop, répondant à l’appel de Staline, du Parti Communiste français et des principales organisations arméniennes de France, quitte sa famille et embarque en 1947 à bord du Rossia dans le port de Marseille. Mais au bout du voyage, c’est l’enfer soviétique qu’il découvre et non la terre promise.
Sur les bords du lac Baïkal, Haïganouch, une poétesse aveugle, séparée de sa sœur lors du génocide de 1915, aujourd’hui traquée par la police politique, affronte elle aussi les tourments de l’Histoire.
Des camps de travail d’Erevan aux goulags d’Iakoutsk, leurs routes se croiseront plus d’une fois, au fil d’une odyssée où la peur rencontre l’espoir, le courage et l’entraide. Agop et Haïganouch parviendront-ils à vaincre, une fois de plus, les ennemis de la liberté, pour s’enfuir et retrouver ceux qu’ils aiment ?

La doublure

Passion, faux-semblants, emprise… Qui manipule qui ?

Une jeune femme fragile en quête d’un nouveau départ. Un couple magnétique et fascinant prêt à lui ouvrir les portes de son monde doré.

Un trio pris au piège d’un jeu cruel et d’une dépendance fatale.

Dans ce roman sombre et envoûtant, Mélissa Da Costa explore, à travers l’histoire d’une passion toxique, la face obscure de l’âme humaine et les méandres du désir. Après les succès de Tout le bleu du ciel, des Lendemains, et de Je revenais des autres, romans aux deux millions de lecteurs, elle révèle une nouvelle facette de son talent.

La Parure

 

Mathilde est jeune, belle, et elle rêve d’une vie bien plus grande que la sienne.
L’invitation à un bal est l’occasion toute trouvée pour enfin s’échapper de son quotidien étriqué…

La célèbre nouvelle de Maupassant, revisitée ici avec brio.

Le loup qui préférait les carottes

 

Petit Loup vit dans la forêt avec son père et ses frères.
Un soir, Papa Loup fait mijoter un lapin et appelle sa meute de sa grosse voix : – A table !
Mais devant son assiette, Petit Loup garde les lèvres pincées. – Moi, je préférerais manger… des carottes.